L’offre Asta, est « abordable, couvre la majorité du territoire nigérian et offre des fonctionnalités telles que la vitesse de transfert de données allant jusqu’à 20 Mbps », a indiqué Abdurrahman Mubi. Avec elle, le FAI Coollinks se donne comme ambition d’améliorer l’accès de tous les Nigérians à la data haut débit. Actuellement, le taux de pénétration du haut débit dans le pays n’excède pas 25%. Pourtant, le Nigeria accueille plusieurs câbles sous-marins de fibre optique, tirés par des entreprises privées. Mais leur déploiement à travers le pays demeure faible et nuit au développement du marché.
Le journal The Guardian révèle que près de 2 milliards de dollars US ont déjà été dépensés pour tirer des câbles sous-marin de fibre optique dans le pays, mais la connectivité des Nigérians demeure faible.
Ntel a investi 600 millions de dollars US dans le câble South Atlantic 3 (SAT3), MTN a injecté 650 millions de dollars US dans le câble West African Cable System (WACS), Dolphin Telecoms a misé 700 millions de dollars US dans le câble Africa Coast to Europe (ACE), MainOne a dépensé 300 millions de dollars dans le câble éponyme et Globacom a concentré 800 millions de dollars US dans le Glo1.
agence ecofin